Nous avons choisi une approche différente. La soutiendrez-vous ?
Contrairement à de nombreux médias, Reporterre est indépendant et géré par une association à but non lucratif. Nous avons fait le choix de proposer tous les contenus du journal en accès libre, sans publicité. Reporterre emploie une équipe de journalistes professionnels, qui produit quotidiennement des articles, enquêtes et reportages sur la crise environnementale et sociale. Le journal dépend en très grande majorité des dons de nos lecteurs qui apprécient nos publications. Même pour un euro, vous pouvez soutenir Reporterre — et cela ne prend qu’une minute. Merci.
Nous avons choisi une approche différente. La soutiendrez-vous ?
Reporterre est indépendant, géré par une association à but non lucratif. Tous les contenus sont en libre accès, et sans publicité. Le journal emploie une équipe de journalistes professionnels, dédiés à informer sur la crise environnementale. Tout cela est possible grâce aux dons de nos lecteurs. Même pour un euro, vous pouvez soutenir Reporterre — et cela ne prend qu’une minute. Merci.
Lorène Avocat, journaliste permanente
« C’est quand qu’on déménage Reporterre à la campagne ? »
Quand elle ne butine pas en Ardèche ou en Transylvanie, Lorène aime se poser à La Ruche, retrouver l’équipe de Reporterre… et tenter avec eux de changer le monde ! À la rédac, certains l’appellent « Speedy Lavocat », parce qu’il paraît qu’elle écrit plus vite que son ombre (y’a urgence écologique, non ?)
Biodiversité, pesticides, semences paysannes : tout l’intéresse, surtout si ça lui permet d’aller papillonner loin de Paris.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Charles Dannaud, journaliste secrétaire de rédaction
Ma décision était prise, mes bagages étaient prêts. Après des années dans la presse quotidienne nationale et la fréquentation des grandes villes (Paris et Marseille), je partais en famille vers l’ancien département des Basses-Alpes. J’ai rencontré professionnellement Reporterre presque sur le quai de la gare pour intégrer l’équipe dans la foulée, à la fin de l’été dernier. Ne cherchez pas, je ne signe pas les articles. Pourtant, ils passent tous, ou presque, entre mes mains : c’est à moi qu’incombent les tâches de l’édition des papiers et de la recherche iconographique. Un travail de l’ombre que je pratique avec plaisir dans la lumière de la Haute-Provence, au pied de la montagne de Lure, sauf les quelques jours du mois, où je rejoins le tronc parisien de l’arbre Reporterre.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Hervé Kempf, rédacteur en chef
« Comment, vous ne savez pas ? Mais c’était sur Reporterre… »
Bon, lui, il est obsessionnel, ces temps-ci : Reporterre par ici, Reporterre par là, on dirait qu’Hervé ne sait plus que le ciel est bleu, que les oiseaux chantent, et que, bizarrement, tout le monde n’est pas vingt-quatre heures sur vingt-quatre préoccupé par le sort de la planète. Mais à part ça, il est plutôt sympathique, est accro, mais grave, à la lecture, adore flâner n’importe où la tête vide et ne connaît pas de plus grand plaisir que de discuter avec les amis, un soir d’été, en buvant un bon verre. Ah, au fait : il est journaliste, et il aime vraiment ce métier.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Marie Astier, journaliste permanente
« Et sinon, on mange quoi ? »
Gourmande de tout, Marie a commencé par croquer les micros : pendant trois ans elle a assuré la chronique environnement, tous les jours dans la matinale de Radio Classique. Depuis qu’elle a rejoint l’équipe de Reporterre, elle a de nouveau le temps de prendre son petit déjeuner, au pain bio et confiture maison, bien entendu. Ses articles sont à déguster principalement dans les rubriques agriculture et alimentation et sont parfois un peu longs, car quand elle trouve un bel os à ronger, elle ne le lâche pas… Son appétit insatiable pour les reportages l’amène aussi régulièrement à franchir les limites de l’Hexagone. Ainsi, vous avez pu la croiser en Écosse, en Grèce et en Espagne.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Alexandre-Reza Kokabi, journaliste permanent
Formé au journalisme à Lannion, sur la Côte de granit rose, Alexandre-Reza espère secrètement que Reporterre déménagera en Bretagne. En attendant, il écrit, trimbale sa binette sur les terrains de lutte et rigole bien avec ses collègues. Après le boulot, vous le trouverez à la boxe thaï, à lire un livre, ou devant un match du Stade-Malherbe, l’équipe de football de Caen.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Émilie Massemin, journaliste permanente
« Le vélo sous la pluie ? Avec un poncho, ça passe ! »
Après avoir vadrouillé deux ans en presse quotidienne régionale, j’ai rejoint Reporterre comme pigiste puis comme salariée depuis avril 2015. J’ai suivi d’un œil attentif les négociations climatiques jusqu’à la COP21, tout en casant par-ci par-là un sujet en lien avec mes marottes — les bestioles, la botanique et les cimes enneigées (ou verdoyantes, c’est selon). Dès que l’occasion se présente, j’enfourche ma fidèle bicyclette pour flâner du côté des Alpes où j’ai grandi ou de la Normandie parmi les vaches bio de mon beau-père.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Gaspard d’Allens, journaliste permanent
Au début, je me suis retrouvé dans un cabinet ministériel à manier « les éléments de langage » et les textes de loi. Mais je ne savais toujours pas faire de nœud de cravate. Alors à 24 ans, j’ai préféré enfourcher mon vélo pour aller à la rencontre de ceux qui transforment le monde et incarnent l’écologie, loin des grands discours. Auteur des Néo-paysans (2016), de Bure, la bataille du nucléaire (2017) et de Main basse sur nos forêts (2019), j’ai rejoint l’équipe de Reporterre en mai 2019
Elsa Bastien, journaliste secrétaire de rédaction
Haute-Alpine de naissance — je n’aime pourtant pas le ski —, je vis désormais à Paris. Journaliste pigiste, je passe la moitié de mon temps chez Reporterre car j’y suis secrétaire de rédaction aux côtés de Charles. L’occasion d’éditer des papiers qui évoquent mes sujets de prédilection : le lombricompost, les aliments lactofermentés mais aussi le féminisme et les luttes sociales.
Photo : © E. Montuclard