Nous avons choisi une approche différente. La soutiendrez-vous ?
Contrairement à de nombreux médias, Reporterre est indépendant et géré par une association à but non lucratif. Nous avons fait le choix de proposer tous les contenus du journal en accès libre, sans publicité. Reporterre emploie une équipe de journalistes professionnels, qui produit quotidiennement des articles, enquêtes et reportages sur la crise environnementale et sociale. Le journal dépend en très grande majorité des dons de nos lecteurs qui apprécient nos publications. Même pour un euro, vous pouvez soutenir Reporterre — et cela ne prend qu’une minute. Merci.
Nous avons choisi une approche différente. La soutiendrez-vous ?
Reporterre est indépendant, géré par une association à but non lucratif. Tous les contenus sont en libre accès, et sans publicité. Le journal emploie une équipe de journalistes professionnels, dédiés à informer sur la crise environnementale. Tout cela est possible grâce aux dons de nos lecteurs. Même pour un euro, vous pouvez soutenir Reporterre — et cela ne prend qu’une minute. Merci.
<portraits|id_rubrique=72>
Alexandre-Reza Kokabi, journaliste permanent
Formé au journalisme à Lannion, sur la Côte de granit rose, Alexandre-Reza espère secrètement que Reporterre déménagera en Bretagne. En attendant, il écrit, trimbale sa binette sur les terrains de lutte et rigole bien avec ses collègues. Après le boulot, vous le trouverez à la boxe thaï, à lire un livre, ou devant un match du Stade Malherbe, l’équipe de football de Caen.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Elsa Bastien, journaliste secrétaire de rédaction
Haute-Alpine de naissance — je n’aime pourtant pas le ski —, je vis désormais à Paris. Journaliste pigiste, je passe la moitié de mon temps chez Reporterre car j’y suis secrétaire de rédaction aux côtés de Charles. L’occasion d’éditer des papiers qui évoquent mes sujets de prédilection : le lombricompost, les aliments lactofermentés mais aussi le féminisme et les luttes sociales.
Photo : © E. Montuclard
Justine Guitton-Boussion, journaliste permanente
Une matinée de juin 2019, j’ai quitté la campagne mayennaise pour prendre le train. Direction Paris. Stagiaire émerveillée, j’ai découvert la rédaction de Reporterre et l’importance de donner accès à une information écolo, libre et indépendante. Je n’ai plus voulu m’en aller. Depuis, j’essaie de convertir mes collègues à mes deux passions : la série Friends et les soirées blind-test. Bref, je réalise que je préfère écrire sur les autres que sur moi-même.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Hervé Kempf, rédacteur en chef
« Comment, vous ne savez pas ? Mais c’était sur Reporterre… »
Bon, lui, il est obsessionnel, ces temps-ci : Reporterre par ici, Reporterre par là, on dirait qu’Hervé ne sait plus que le ciel est bleu, que les oiseaux chantent, et que, bizarrement, tout le monde n’est pas vingt-quatre heures sur vingt-quatre préoccupé par le sort de la planète. Mais à part ça, il est plutôt sympathique, est accro, mais grave, à la lecture, adore flâner n’importe où la tête vide et ne connaît pas de plus grand plaisir que de discuter avec les amis, un soir d’été, en buvant un bon verre. Ah, au fait : il est journaliste, et il aime vraiment ce métier.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Charles Dannaud, journaliste secrétaire de rédaction
Ma décision était prise, mes bagages étaient prêts. Après des années dans la presse quotidienne nationale et la fréquentation des grandes villes (Paris et Marseille), je partais en famille vers l’ancien département des Basses-Alpes. J’ai rencontré professionnellement Reporterre presque sur le quai de la gare pour intégrer l’équipe dans la foulée, à la fin de l’été dernier. Ne cherchez pas, je ne signe pas les articles. Pourtant, ils passent tous, ou presque, entre mes mains : c’est à moi qu’incombent les tâches de l’édition des papiers et de la recherche iconographique. Un travail de l’ombre que je pratique avec plaisir dans la lumière de la Haute-Provence, au pied de la montagne de Lure, sauf les quelques jours du mois, où je rejoins le tronc parisien de l’arbre Reporterre.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Émilie Massemin, journaliste permanente
« Le vélo sous la pluie ? Avec un poncho, ça passe ! »
Après avoir vadrouillé deux ans en presse quotidienne régionale, j’ai rejoint Reporterre comme pigiste puis comme salariée depuis avril 2015. J’ai suivi d’un œil attentif les négociations climatiques jusqu’à la COP21, tout en casant par-ci par-là un sujet en lien avec mes marottes — les bestioles, la botanique et les cimes enneigées (ou verdoyantes, c’est selon). Dès que l’occasion se présente, j’enfourche ma fidèle bicyclette pour flâner du côté des Alpes où j’ai grandi ou de la Normandie parmi les vaches bio de mon beau-père.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Marie Astier, journaliste permanente
« Et sinon, on mange quoi ? »
Gourmande de tout, Marie a commencé par croquer les micros : pendant trois ans elle a assuré la chronique environnement, tous les jours dans la matinale de Radio Classique. Depuis qu’elle a rejoint l’équipe de Reporterre, elle a de nouveau le temps de prendre son petit déjeuner, au pain bio et confiture maison, bien entendu. Ses articles sont à déguster principalement dans les rubriques agriculture et alimentation et sont parfois un peu longs, car quand elle trouve un bel os à ronger, elle ne le lâche pas… Son appétit insatiable pour les reportages l’amène aussi régulièrement à franchir les limites de l’Hexagone. Ainsi, vous avez pu la croiser en Écosse, en Grèce et en Espagne.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Gaspard d’Allens, journaliste permanent
Au début, je me suis retrouvé dans un cabinet ministériel à manier « les éléments de langage » et les textes de loi. Mais je ne savais toujours pas faire de nœud de cravate. Alors à 24 ans, j’ai préféré enfourcher mon vélo pour aller à la rencontre de ceux qui transforment le monde et incarnent l’écologie, loin des grands discours. Auteur des Néo-paysans (2016), de Bure, la bataille du nucléaire (2017) et de Main basse sur nos forêts (2019), j’ai rejoint l’équipe de Reporterre en mai 2019
Lorène Avocat, journaliste permanente
« C’est quand qu’on déménage Reporterre à la campagne ? »
Quand elle ne butine pas en Ardèche ou en Transylvanie, Lorène aime se poser à La Ruche, retrouver l’équipe de Reporterre… et tenter avec eux de changer le monde ! À la rédac, certains l’appellent « Speedy Lavocat », parce qu’il paraît qu’elle écrit plus vite que son ombre (y’a urgence écologique, non ?)
Biodiversité, pesticides, semences paysannes : tout l’intéresse, surtout si ça lui permet d’aller papillonner loin de Paris.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Renan Guichard, directeur général adjoint
Concerné depuis de nombreuses années par la catastrophe environnementale, Renan a décidé de lier les paroles aux actes en dédiant son temps et son énergie au développement du quotidien de l’écologie.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Mariane Fers, chargée des partenariats et de l’organisation des rencontres
Dernière arrivée dans le peloton, niveau d’EPO au top, c’est avec plaisir que je rejoins l’équipe de Reporterre perchée en haut de la côte Gambetta ! Quand je n’ai pas les mains fourrées dans le cambouis ou suspendues à la coulisse de mon trombone, elles s’agitent à la préparation des rencontres de Reporterre.
Vous ne connaissez pas encore les rencontres ? Ce sont des moments conviviaux de débat préparés par des séries d’articles et d’enquêtes qui visent à prolonger le site internet de Reporterre.net en compagnie d’experts, de comédiens, de clowns et d’autres artistes.
Alors à bientôt et au plaisir de vous croiser à une conférence perturbée !
Marion Susini, chargée de la communication
« Busan, c’est Marseille en coréen »
Marseillaise d’origine, et amoureuse de la Corée du Sud, je suis allée à Paris faire une licence de coréen. Très vite, j’ai compris que mon cœur et mon futur appartenaient à un monde meilleur. Mon objectif : en trouver la porte. Chez Reporterre, je m’occupe des réseaux sociaux, de la communication et des donateurs. Je pense que Reporterre pourrait bien être l’une des clés vers ce futur.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Pierre Isnard-Dupuy, journaliste pigiste
Je navigue sur les flots de Méditerranée (à la voile bien sur !) et sur les terres de Provence et des Cévennes. Port d’attache : Marseille, depuis lequel je m’embarque comme journaliste de terrain. Toujours partant pour des reportages pleins de nouvelles rencontres et découvertes. Et quand je ne manœuvre pas pour Reporterre, je surfe micro en main sur d’autres vagues, celles de la radio et de la création sonore.
Éric Coquelin, photographe
« Votre truc, là, c’est innovant, c’est bon pour le climat ! Mais on va attendre un peu… »
Chargé de mission développement durable et innovation démocratique, c’est après mon travail que je promène mes humeurs en chroniquant par-ci, bloguant par-là… Toujours des histoires de climat, de planète, toussa, toussa…
Mais, je suis viscéralement street-photographe, cela depuis… oulah !!!! Attaché aux « héros ordinaires » qui se bougent, qui font la démonstration que le changement, c’est… Euh… Non, rien…
Mon petit bonheur, mon jardin (presque) secret, c’est Reporterre. Une bouffée d’oxygène, un bol d’air pur. Quoique, en cette drôle d’époque, je ne sois pas sûr que la formule (le bol d’air) soit des plus heureuses.
Sinon, rien…
Philipe Desfilhes, journaliste pigiste
Vingt ans de journalisme économique et d’observation des innovations technologiques m’ont convaincu que les gens aux affaires nous mènent droit dans le mur. Le changement est possible, surtout si il est quotidien. Il est temps de prendre les choses en mains en mettant en avant la planète et les gens qui l’habitent !
NnoMan, photographe
J’ai grandis dans le 94 et je suis photoreporter indépendant. J’assume une photographie sociale et engagée.
Je couvre souvent les luttes sociales, les questions de violences policières en manif mais aussi et surtout, dans nos quartiers populaires, la question des réfugié.es. J’essaye de mettre en lumière celles et ceux qui luttent pour plus de justice sociale. Et plus récemment, notamment grâce à Reporterre, je mets en lumière celles et ceux qui luttent pour la justice climatique.
J’ai vraiment rencontré Reporterre lors d’un entretien pour un dossier sur la répression. Entretien pour lequel je répondais aux questions d’Émilie Massemin.
Photo : © NnoMan
Didier Harpagès, journaliste bénévole
Après avoir accompli plus de quarante années de bons et loyaux services en tant que professeur de sciences économiques et sociales dans le dunkerquois, je me suis tourné vers l’écriture et quelques livres consacrés au thème de la décroissance ont été édités.
Sur les conseils de Hervé Kempf, je suis devenu journaliste bénévole à la suite de la mise en ligne d’un premier article relatif à la construction annoncée de la scandaleuse ferme des « mille vaches ». D’autres ont suivi.
Écrire bénévolement en faveur d’un quotidien gratuit au nom de l’écologie politique et sociale, tout compte fait, quoi de plus gratifiant pour un rescapé du travail ?
Étienne Gendrin, dessinateur
Étienne Gendrin est auteur de bandes dessinées et illustrateur. Il raconte les histoires des autres : le parcours de jeunes migrants, les aventures de sa grand-mère en cuisine, l’épopée d’une résistante au nazisme en Alsace annexée. Tout ça en restant le cul sur sa chaise !
Reporterre l’a contacté un jour, certainement séduit par son sacré talent. Comme il n’a pas grand chose à faire, à vrai dire, il accepte de travailler pour eux, mais pas trop souvent quand même !
Mathieu Génon, photographe
Photographe depuis une dizaine d’année, j’ai croisé la route de Reporterre il y a deux ans, après avoir participé au lancement de médias locaux (Le 13 du mois, Soixante-Quinze) : convaincu qu’il restait encore une place pour une presse libre et indépendante. Depuis, je collabore régulièrement avec son équipe, l’occasion de regarder et d’écouter le monde autrement, et de donner du sens à mes images.
Quand je ne photographie pas, je prends ma pagaie et mon canoë, le temps de m’évader quelques instant et de me laisser porter par les courants ligériens.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
RED ! dessinateur
« Relax Et Détendu »
Red ! est un ex-chimiste du nucléaire qui a choisi l’abréviation de Relax Et Détendu pour signer ses dessins. Il signe pour la presse nationale et locale et a dessiné en direct la vidéo d’une des campagnes de dons précédentes de Reporterre. Sur celle-ci, la main aux ongles tout propres, c’est lui !
Élisabeth Schneiter, journaliste bénévole
Journaliste indépendante, Élisabeth Schneiter a créé et dirigé un magazine sur la langue française, Qui-vive !, et un autre sur l’actualité culturelle et scientifique française, Rendez-vous en France, et écrit pour Le Monde, Les Échos, le Figaro…
Elle collabore depuis quatre ans avec Reporterre, et suit les atteintes aux libertés dans le monde. Elle s’est battue en 2013 contre l’ouverture d’une carrière en Ombrie (Italie), combat gagné en 2014.
En octobre 2018, elle a publié aux éditions du Seuil/Reporterre, Les Héros de l’environnement, et raconte les combats d’activistes, autochtones, paysans, éleveurs, bergers ou simples citoyens qui risquent leur liberté et leur vie pour faire respecter leurs droits et leurs territoires, soutenus par des avocats, scientifiques et journalistes, qui se retrouvent eux-aussi menacés.
Tommy, dessinateur
« Pourvu que ça dure »
Tommy dessine pour la presse, l’édition et anime des événements en direct grâce à ses crayons. Partisan du tout-nucléaire, résolument opposé à l’agriculture biologique et heureux propriétaire d’un 4x4 diesel, Tommy collabore à Reporterre par pur opportunisme. Pourvu que ça dure.
Mathilde Dorcadie, journaliste pigiste
Journaliste reporter sac-à-dos, Mathilde aime écrire ou filmer des histoires petites ou grandes qui parlent d’espoir ou dénoncent les injustices. Au Brésil, et maintenant en Belgique, elle a trouvé des terrains propices pour cela.
Nicolas de La Casinière, journaliste pigiste
Signe poissons, ascendant sauce au beurre blanc. Amateur de vélo sans s’arrêter à tous les feux ; avec une certaine inclination pour le vivazapatisme de proximité et le bordelambiantisme instinctif. Incidemment, animateur de l’indispensable Lettre à Lulu, à Nantes, et collaborateur régulier de Reporterre et d’autres gazettes. On dit qu’il va souvent visiter la Zad de Notre-Dame-des-Landes. Auteur du livre les Saboteurs du climat, coédition du Seuil et de Reporterre.
Violette Bonnebas, journaliste pigiste
Apprentie jardinière sur mon balcon berlinois, journaliste en sandales Birkenstock, je raconte des bouts d’Allemagne sur Reporterre depuis 2015.
Mathilde Bouquerel, journaliste pigiste
Oui, bon, c’est pour les enfants mais c’est tellement cool ! »
Mathilde Bouquerel est la voix qui se cache derrière Radio Bambou, le podcast d’éducation à l’environnement que vous retrouvez tous les quinze jours sur Reporterre. Comme Bambou, elle partage son temps entre vivre de nombreuses aventures, faire de la radio et des blagues super drôles. Mais Mathilde aime surtout raconter des histoires rien qu’avec des voix, de la musique et des bruitages. Ses inspirations vont de Starwars à Pokémon en passant par Dark Crystal et les documentaires de la BBC. Dans un registre plus sérieux, elle a écrit plusieurs articles pour Reporterre, notamment sur le thème de l’enfance et de l’éducation. Elle travaille également pour Radio France.
Marion Esnault, photographe et journaliste pigiste
J’ai embrassé la cause climatique il y a plusieurs années quand j’ai croisé le chemin du mouvement citoyen Alternatiba. Depuis, je fais tourner ma vie autour du climat : photojournaliste un jour, activiste désobéissante un autre, chargée d’évènementiel par ici, chargée de partenariat par là. On me qualifie souvent d’électron libre. J’ai rejoins l’équipe de Reporterre en février 2018 et j’ai sorti mon couteau suisse pour contribuer à cet indispensable projet de média indépendant sur l’écologie : recherche de financement, organisation des Rencontres de l’écologie, photoreportages. En septembre 2019, j’ai quitté l’équipe permanente pour m’expatrier au Chili. L’électron libre est de retour ! Je dédie une année entière au photojournalisme et particulièrement aux effets du dérèglement climatique en Amérique du Sud. Vous retrouverez peut-être certains de mes papiers sur Reporterre !
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Moran Kerinec, journaliste pigiste
Breton exilé en terre de France, embarqué jeune dans le journalisme avant d’entrer par mégarde à Reporterre par la porte d’un stage. Amateur des joies numériques et des outils interactifs, père un peu fier d’un docufiction sur les lanceurs d’alerte.
Christine Laurent, membre de La Pile
« Je l’ai rapporté du jardin »
Quinze ans de journalisme scientifique, huit ans de politique locale à Paris et depuis quelques années la communication sur les espaces verts municipaux... et la résistance active dans le Jardin sans pétrole, lieu de découvertes, d’expériences et de saine nourriture. Christine a rejoint le CA de La Pile en mai 2016.
Olivier Mugler, président de La Pile
« On reprend l’ordre du jour ! Qui a la parole ? »
Tombé tout petit dans la potion magique des sciences subtiles de l’homéopathie, une force invincible (qui le rend humble !) le soutient ensuite dans ses combats pour l’agriculture biologique à travers la distribution coopérative de ses produits et des questions connexes autour de l’écologie, de l’économie sociale et des enjeux sociétaux. L’ordonnancement affinitaire de la vie le fait rencontrer Reporterre dans les limbes de sa naissance en 1989 et ne plus guère le quitter depuis. En 2012, Reporterre quitte l’enfance avec la création de La Pile, dont il accepte la présidence.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Véronique Kempf, membre de La Pile
« Avec du piment d’Espelette et une pincée de poivre »
Dans la vraie vie, elle est éditrice et publie des bons livres sur l’environnement vécu au quotidien ou des entretiens avec Patrick Viveret, Louis Espinassous ou Jean-Marie Pelt. Pour Reporterre, elle donne un paquet d’heures bénévoles au conseil d’administration de La Pile, et trouve en plus le temps de présider une association d’éducation populaire. Un talent incontesté : c’est une cuisinière hors pair. Et une formidable qualité : sa maison est toujours ouverte aux amis et à ceux ou celles qui passent.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre
Laurence Nguyen, membre de La Pile
Professionnelle de la responsabilité sociétale des entreprises, Laurence est également bénévole chez Oxfam et enseigne le français aux femmes migrantes au sein d’une association. Quand elle n’hiberne pas dans sa tanière pour croquer des livres, Laurence aime flâner dans la nature pour laisser vagabonder ses pensées mais aussi pour photographier des couleurs, des textures, une lumière, une atmosphère... Elle aime cultiver ces moments comme sa curiosité. Elle a rejoint le conseil d’administration de La Pile en mars 2019.
Pascale Solana, membre de La Pile
Années 1980, elle assiste à la naissance de l’École d’agrobiologie de Beaujeu (69). Et plonge dans la marmite bio. 1989, journaliste elle rencontre Reporterre, magazine papier : collaboration et réalisation du Guide du consommateur vert, coéd. Reporterre/Rivages. De nombreux articles, quelques livres tels La Bio de la terre à l’assiette, 1999 ; Passions bio, 2006, témoignent d’un engagement pour l’agriculture biologique, ses valeurs, ses produits… Elle reste convaincue du besoin d’aborder le monde avec une approche écologique, parce que cohérente et globale. 2012, elle entre au conseil administration de La Pile, l’association qui édite Reporterre.
Photo : © Mathieu Génon/Reporterre