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4 novembre 2015Les « biens communs », késako ? C’est l’air que l’on respire, l’eau que l’on boit, les forêts que l’on exploite et dans lesquelles on prend plaisir à flâner, ce sont les semences, garantes de la biodiversité – et donc de notre survie – c’est la Terre, notre habitat. Mais ce sont aussi les logiciels libres, les modes de vie traditionnels, les connaissances, l’information, etc. Bref, ce sont des ressources naturelles ou culturelles gérées par une communauté qui se donnent ses propres règles en vue de les préserver.
Et si les « communs » constituaient cette fameuse « troisième voie », sociale et écologique, entre le marché et l’État ? Préfigurent-ils la révolution au XXIe siècle face à la dictature du néolibéralisme ? Mais comment se prémunir contre une « tragédie des communs », c’est-à-dire la surexploitation de ressources autogérées ?
C’est de tout cela – et plus encore – qu’il sera question lors de la Rencontre de Reporterre – « Biens communs : les citoyens reprennent le pouvoir » – qui aura lieu
Métro : Ménilmontant (ligne 2)
Bus : Arrêt Henri Chevreau (ligne 96) ou Arrêt Pyrénées-Ménilmontant (ligne 26).
Benjamin Coriat, professeur de sciences économiques à l’Université Paris 13, membre du collectif des Économistes Atterrés
Laurence Comparat, adjointe à la Ville de Grenoble en charge de l’accès à l’information et à la libération des données publiques
Christophe Henner, président de Wikimedia France
Philippe Cacciabue, directeur de la Foncière Terre de liens
Entrée libre
Cette Rencontre de Reporterre est organisée avec le soutien de la Fondation pour une terre humaine