30 janvier 2020 à 16h26
Durée de lecture : 1 minute
Transports
Ce jeudi 30 janvier, en Charente, à Nersac, Emmanuel Macron a posé la première pierre de l’usine pilote de Saft, qui assurera le développement et la mise au point de batteries électriques.
Saft est une filiale de Total, leader européen en matière de batteries électriques. En partenariat avec le constructeur automobile PSA, l’entreprise devra développer des batteries lithium-ion à destination des véhicules électriques.
Alors que la Commission européenne a donné début décembre son feu vert à l’« Airbus de la batterie » — un projet destiné à réduire la dépendance des Européens aux Asiatiques dans ce secteur jugé stratégique —, Saft est l’un des 17 acteurs issus du privé qui intégrera le consortium et bénéficiera à ce titre d’aides stratégiques de la part des États membres : Saft et PSA devraient donc recevoir une part majeur des 690 millions d’euros prévus à ce titre par le gouvernement français.
La voiture électrique est depuis longtemps critiquée par de nombreux écologistes, qui dénonçaient dans Reporterre le coût financier, énergétique et environnemental exorbitant de ces véhicules.
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