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17 octobre 2019Dans la nuit de mercredi à jeudi 17 octobre, la rédaction de Streetpress a été cambriolée. « On n’a plus aucune caméra, des ordis & appareils photos ont été pris, explique la rédactrice en cheffe adjointe de Streetpress, Inès Belgacem, sur son compte Twitter. En tout, avec l’arrêt de l’activité et la casse, on tourne autour de 30.000 euros de pertes. »
Streetpress venait tout juste de boucler une campagne de financement participatif destinée à éviter sa disparition. Mardi 15 octobre, l’objectif de 40 000 euros de dons avait été atteint. « On pensait être sorti de la mouise grâce à votre soutien, a communiqué l’équipe de StreetPress. On a plus que jamais besoin de votre soutien. »
Nous, la rédaction de Reporterre, apportons tout notre soutien à nos consœurs et confrères de Streetpress, dont le travail d’information populaire est nécessaire au paysage médiatique français.
Pour soutenir la rédaction de Streetpress, qui en a plus que jamais besoin.
Pour consulter le manifeste de Stresspress.
Pire nouvelle, @streetpress a été cambriolé hier soir. On n'a plus aucune caméra, des ordis & appareils photos ont été pris. En tt, avec l'arrêt de l'activité et la casse, on tourne autour de 30.000 euros de pertes. Pire nuit. On a tjr besoin de vous https://t.co/O5ekTaBf0N pic.twitter.com/OFYlYwXusT
— Inès Belgacem (@InesBgc) October 17, 2019