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EnquêteAgriculture

Les vignerons à l’épreuve de la crise climatique

Anne-Marie Lavaysse cultive certains ceps qui ont plus de 200 ans, à Saint-Jean-de-Minervois (Hérault).

Le changement climatique bouleverse le vignoble français. Comment s’adapter ? Irriguer, planter des arbres ou délocaliser les vignes en Bretagne. Enquête en quatre volets sur l’avenir du vin.

[1 / 4] Sécheresse, inondations, gel… Des vignerons racontent le changement climatique

Face à la multiplication d’épisodes climatiques extrêmes, les vignerons ont dû adapter leurs pratiques. Ceux ayant des techniques plus naturelles arrivent à s’en sortir. [ENQUÊTE 1/4]

[2 / 4] Les vignes industrielles, bientôt dépendantes de l’irrigation ?

Irriguer les vignes devient de plus en plus tentant face à l’aridité. Mais un arrosage systématique épuiserait les réserves d’eau et risquerait de rendre les cépages plus vulnérables aux futures sécheresses. [ENQUÊTE 2/4]

[3 / 4] L’agroforesterie, le futur de la vigne

Dans son vignoble du Gard, Franck Renouard est un pionnier de l’agroforesterie. Ses vignes sont longées de haies et parsemées d’arbres fruitiers, qui pourraient contribuer à les protéger du changement climatique. [ENQUÊTE 3/4]

[4 / 4] Changement climatique : la Bretagne, nouvel eldorado des vignerons

Autrefois inadaptée à la viticulture commerciale, la Bretagne attire de plus en plus de vignerons. Le réchauffement du climat y facilite la maturation des raisins, sans toutefois prémunir la région des évènements climatiques extrêmes. [ENQUÊTE 4/4]

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