Média indépendant, en accès libre pour tous, sans publicité, financé par les dons de ses lecteurs

Luttes

Zad de Notre-Dame-des-Landes : 15 jours de résistance à l’intervention militaire

Lundi 9 avril, le gouvernement a envoyé 2.500 gendarmes mobiles et des engins blindés expulser les « occupants illégaux » de la Zad de Notre-Dame-des-Landes. Voici les articles de Reporterre a consacré chaque jour à cette semaine de violence.

La Zad et la guerre civile mondiale


Lundi 9 avril — 1er jour : La Zad de Notre-Dame-des-Landes sous le choc de l’évacuation


2e jour : Expulsions sur la Zad : l’intervention militaire commence à patiner


3e jour : Sur la Zad, la difficile résistance se poursuit face au rouleau compresseur des gendarmes


4e jour : Macron lâche du lest


5e jour : L’accalmie après la poursuite de l’opération militaire toute la matinée


6e jour : Zad de Notre-Dame-des-Landes : Nantes soutient la Zad, qui respire enfin


6e jour - Autre regard - Notre-Dame-des-Landes : la Zad prépare la reconstruction


7e jour : sur la Zad, manifestation sereine et déterminée


7e jour : sur la Zad, une belle détermination collective à reconstruire


Lundi 16 avril — 8e jour : un lundi entre escarmouches et un calme propice à la discussion


9e jour : comment sortir de l’impasse ?


10e jour : le gouvernement et M. Hulot restent intransigeants


10e jour : Face au mur du gouvernement, le dilemme de la Zad


11e jour


12e jour : « Nous voulons stopper l’escalade de la tension et obtenir le temps »


13e jour : « Les médics de la Zad soignent les corps et les esprits »


14e jour - 23 avril : « À Notre-Dame-des-Landes, la Zad reprend son souffle »


Puisque vous êtes ici...
... nous avons une faveur à vous demander. Il n’y jamais eu autant de monde à lire Reporterre, mais nos revenus ne sont pourtant pas assurés.
Contrairement à une majorité de médias, nous n’affichons aucune publicité, et laissons tous nos articles en libre accès, afin qu’ils restent consultables par tous. Reporterre dépend en grande majorité des dons de ses lecteurs. Le journal, indépendant et à but non lucratif, compte une équipe de journalistes professionnels rémunérés, nécessaire à la production quotidienne d’un contenu de qualité. Nous le faisons car nous croyons que notre point de vue, celui de l’environnement et de l’écologie, compte - car il est aussi peut-être le vôtre.

« Notre société a besoin d’un média qui traite des problématiques environnementales de façon objective, libre et indépendante, en restant accessible au plus grand nombre ; soutenir Reporterre est ma manière de contribuer à cette démarche. » Renan G.

Si toutes les personnes qui lisent et apprécient nos articles contribuent financièrement, la vie du journal sera pérennisée. Même pour 1€, vous pouvez soutenir Reporterre - et cela ne prend qu’une minute. Merci. Soutenir Reporterre


En évacuant la Zad, l’État serait dans l’illégalité


VIDÉO - Pour Vandana Shiva, la Zad montre « comment cultiver le futur »


À Belleville, dans le métro, à Tolbiac… à Paris, la « Zad est lumière »


José Bové : « En évacuant des lieux symboliques, l’État ne fait que renforcer la détermination de tout le monde »


L’École des hautes études EHESS occupée à Paris en soutien à la Zad


« Contre l’invasion militaire d’un État destructeur », les soutiens des zadistes se sont retrouvés à Paris


Association de malfaiteurs


Ce que vous ne pourrez pas détruire


Stoppez tout avant qu’il ne soit trop tard !


Trop de grenades pour Red !


Pour défendre une agroécologie solidaire, il faut donc tenir une barricade


La Zad vue par M. Macron : « La tyrannie de certaines minorités, habituées à ce qu’on leur cède en refusant de transformer le pays »


Les mensonges sanglants de M. Macron


Une semaine de résistance en images

-  Les reportages photos de nos photographes


Autour de la Zad, la bataille politique de la propriété privée

Notre-Dame-des-Landes, quand la réalité rejoint la fiction de « Résilience »


M. Hulot n’est pas l’écologie


Gendarme, pourquoi ne lâches-tu pas ton arme ?


À Notre-Dame-des-Landes, avec les marginaux de la Zad, ceux qu’on n’entend jamais


Édito des lecteurs : spécial Notre-Dame-des-Landes


Puisque vous êtes ici...
... nous avons une faveur à vous demander. Il n’y jamais eu autant de monde à lire Reporterre, mais nos revenus ne sont pourtant pas assurés.
Contrairement à une majorité de médias, nous n’affichons aucune publicité, et laissons tous nos articles en libre accès, afin qu’ils restent consultables par tous. Reporterre dépend en grande majorité des dons de ses lecteurs. Le journal, indépendant et à but non lucratif, compte une équipe de journalistes professionnels rémunérés, nécessaire à la production quotidienne d’un contenu de qualité. Nous le faisons car nous croyons que notre point de vue, celui de l’environnement et de l’écologie, compte - car il est aussi peut-être le vôtre.

« Notre société a besoin d’un média qui traite des problématiques environnementales de façon objective, libre et indépendante, en restant accessible au plus grand nombre ; soutenir Reporterre est ma manière de contribuer à cette démarche. » Renan G.

Si toutes les personnes qui lisent et apprécient nos articles contribuent financièrement, la vie du journal sera pérennisée. Même pour 1€, vous pouvez soutenir Reporterre - et cela ne prend qu’une minute. Merci. Soutenir Reporterre

Alors que les alertes sur le front de l’environnement continuent en ce mois de septembre, nous avons un petit service à vous demander. Nous espérons que les derniers mois de 2023 comporteront de nombreuses avancées pour l’écologie. Quoi qu’il arrive, les journalistes de Reporterre seront là pour vous apporter des informations claires et indépendantes.

Les temps sont difficiles, et nous savons que tout le monde n’a pas la possibilité de payer pour de l’information. Mais nous sommes financés exclusivement par les dons de nos lectrices et lecteurs : nous dépendons de la générosité de celles et ceux qui peuvent se le permettre. Ce soutien vital signifie que des millions de personnes peuvent continuer à s’informer sur le péril environnemental, quelle que soit leur capacité à payer pour cela. Allez-vous nous soutenir cette année ?

Contrairement à beaucoup d’autres, Reporterre n’a pas de propriétaire milliardaire ni d’actionnaires : le média est à but non lucratif. De plus, nous ne diffusons aucune publicité. Ainsi, aucun intérêt financier ne peut influencer notre travail. Être libres de toute ingérence commerciale ou politique nous permet d’enquêter de façon indépendante. Personne ne modifie ce que nous publions, ou ne détourne notre attention de ce qui est le plus important.

Avec votre soutien, nous continuerons à rendre les articles de Reporterre ouverts et gratuits, pour que tout le monde puisse les lire. Ainsi, davantage de personnes peuvent prendre conscience de l’urgence environnementale qui pèse sur la population, et agir. Ensemble, nous pouvons exiger mieux des puissants, et lutter pour la démocratie.

Quel que soit le montant que vous donnez, votre soutien est essentiel pour nous permettre de continuer notre mission d’information pour les années à venir. Si vous le pouvez, choisissez un soutien mensuel, à partir de seulement 1€. Cela prend moins de deux minutes, et vous aurez chaque mois un impact fort en faveur d’un journalisme indépendant dédié à l’écologie. Merci.

Soutenir Reporterre

📨 S’abonner gratuitement aux lettres d’info

Abonnez-vous en moins d'une minute pour recevoir gratuitement par e-mail, au choix tous les jours ou toutes les semaines, une sélection des articles publiés par Reporterre.

S’abonner
Fermer Précedent Suivant

legende